Aujourd'hui, nous partons à la rencontre de Corentin Dekydtspotter, chef de culture pour la SAS Delvigne Magnier, une exploitation située dans les Hauts-de-France (Oise et Somme).
Cette exploitation comporte principalement des sols limoneux où l'on cultive pommes de terre, endives et céréales.
Corentin nous partage ses impressions sur les résultats prometteurs des essais réalisés avec les solutions Oligo+ pour améliorer le rendement et l’homogénéité des pommes de terre.
“Moi, c'est Corentin Dekydspotter, chef de culture à la SAS Delvigne Magnier. Notre exploitation est majoritairement orientée vers les cultures céréalières et légumières, en particulier les pommes de terre et les endives.
Mon rôle consiste à organiser et superviser les équipes, de la plantation aux récoltes, en passant par les traitements. Je suis également responsable de la mise en place des protocoles d’essais, que j’ai suivis avec Maxime sur les pommes de terre.”
“J'ai découvert Oligo+ par l’intermédiaire de Pierre Dekydspotter, responsable du centre de conditionnement Sopom. Il avait déjà travaillé avec Guillaume Tupigny et m'a invité à une journée d’échanges entre agriculteurs chez Guillaume.
Les résultats de certains agriculteurs avec Oligo+ nous ont convaincus d’essayer nous aussi ! On s'est dit que si ça fonctionnait bien pour d'autres, pourquoi pas chez nous ?”
“Pour nous, il est essentiel de prendre en compte l'environnement et les attentes des consommateurs, mais la productivité reste cruciale.
Lors de la journée chez Guillaume, on a pu voir que certains protocoles amélioraient l’homogénéité des calibres, ce qui est essentiel pour répondre aux besoins du marché.
En tant qu’agriculteurs, on cherche avant tout à maximiser les rendements tout en produisant de manière durable et efficace.”
“Maxime est venu sur l'exploitation pour faire un point sur les différentes variétés présentes, comme les chaires fermes et les consos. On a choisi certaines variétés pour les essais.
En chair ferme, on a commencé assez tôt pour stimuler la tubérisation. Tandis qu’en consommation, on a démarré plus tard.
Pour ces essais, on a travaillé uniquement en foliaire avec cinq litres de produit à chaque passage de fongicide. Pour le dosage, on est allé jusqu'à 35 L/ha sur les chaires fermes et jusqu'à 25-30 L/ha sur les variétés tardives.”
“Les résultats sont vraiment intéressants. En grenaille, par exemple, on a observé environ 500.000 tubercules supplémentaires par hectare par rapport à l'année dernière, avec un calibre plus homogène.
En chair ferme, l'homogénéité des calibres était impressionnante, même si les gains en rendement n’étaient pas énormes.
Cela reste cependant un critère clé : l'objectif est de produire des calibres réguliers pour répondre aux attentes du marché.”
“On a constaté que certaines variétés, comme les chaires fermes en grenaille, se valorisent bien, car elles ont une forte demande.
Pour les variétés de consommation, l’intérêt économique réside dans l’homogénéité des calibres au-dessus de 45 mm. Ça améliore nettement la rentabilité, car on évite d'avoir trop de petites pommes de terre.
En chair ferme, on a eu environ 10 % de tubercules supplémentaires dans le calibre recherché, ce qui valorise mieux la récolte.”
“Je leur dirais d’essayer ! Nous-mêmes, nous continuerons les essais l’année prochaine et ferons tout pour atteindre la dose optimale de 40 litres.
Je pense que chaque exploitation a ses spécificités, et il est important d'adapter les protocoles en fonction des besoins et des débouchés.
Nous avons aussi réalisé des essais sur les oignons et les épinards, qui montrent des résultats encourageants en termes de calibre et de couleur.
Donc oui, je recommande vraiment de tester Oligo+ !”
Chez Oligo+, notre mission est de simplifier votre métier en vous permettant de travailler plus sereinement, d'améliorer vos marges et d'avoir une meilleure intégration environnementale.
Comment ?